Les derniers parfaits de Paul Beorn

Synopsis

Dans le royaume de France ravagé par la guerre contre les légions catharis d’Occitania, Cristo, un soldat prisonnier, échappe à ses geôliers enchaîné à trois compagnons d’infortune. Les quatre fuyards que tout oppose doivent s’entraider pour survivre, contraints de se cacher puis d’emprunter les chemins de traverse. Commence alors pour eux une haletante course-poursuite à travers un pays ennemi dominé par des démons et vivant sous le joug d’une Église catharis fanatisée. Ici, dans les vestiges d’un antique Empire disparu, une magie ancienne continue de survivre dans des talismans et d’immenses tours-statues. Au coeur des forêts profondes et des montagnes déchiquetées des terres occitanes, pris dans le fracas des combats, Cristo et ses compagnons prendront conscience de porter en eux un pouvoir insoupçonné. Ils verront leur destin basculer et le monde trembler sous leurs pas.

Mon avis

Bien, j’avais dis que relirais très vite du Paul Béorn pour voir si sa plume me plaît toujours.

Mon avis est contrasté, il écrit bien, c’est une histoire originale. Il mélange un peu de vrai et du fantastique.
Mais voilà, c’est une histoire très dense, il se passe beaucoup de chose mais pourtant chaque nouvelle action s’essouffle vite.

Avec quelques jours de recul, c’est effectivement le gros point noir, les événement s’enchaînent assez bien mais chaque étale du périple s’achève un peu vite … Oh oui, c’est sûr il y a de l’action néanmoins j’aurais, personnellement, apprécié un peu de développement dans les actions. Et puis surtout une fin qui donne plus de liant à épreuve que les héros ont vécu. Parce que oui il y a l’histoire de Cristo, mais j’aurais vraiment apprécié que l’autre personnage, Mousse, à qui je me suis fortement attaché soit plus développé, parce que moi c’est elle la vrai héroïne de l’histoire.

Bref, bon roman mais mais un peu trop rapide sur les évènement qui survient dans ce livre. Ce livre aurait pu durer un tome de plus sans problème, sans redondance si l’auteur l’avait souhaité.

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